La lanterne fringante
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 Que l'on est bête quand on est amoureux - Titef pour Litany

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Gred
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Ruika
Lilitu à la lanterne
Ruika


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MessageSujet: Que l'on est bête quand on est amoureux - Titef pour Litany   Que l'on est bête quand on est amoureux - Titef pour Litany EmptyJeu 25 Déc - 20:07

Titre : Que l'on est bête quand on est amoureux.
Fandom : Harry Potter
Pairing : Draco Malefoy/Cho Chang
Rating: PG


L’amour, pour lui, n’avait rien de cette chose merveilleuse dont parlent tous les adolescents. Les jeunes filles qui se pâmaient pour leur prince charmant, les jeunes hommes qui achetaient des fleurs à leurs fiancées ne lui inspiraient que des moqueries.
En vérité, ils les plaignaient. Parce qu’il savait très bien comment tout cela finit : des cris, des larmes et du désespoir. Depuis tout jeune, il le savait, avant même de faire ses premiers pas.
A force de voir sa mère pleurer lorsque son père partait en voyage d’affaire, à force de la voir se démener pour porter la robe, le collier qui la ferait remarquer avant de s’effondrer encore une fois parce qu’il ne la regardait pas assez, à force d’entendre des cris monter de la chambre conjugale et de supporter, jour après jour, les yeux remplis d’espoir sans cesse déçus de Narcissa, il avait compris.
Il ne serait jamais de ce côté là de la barrière. Il ne serait jamais celui qui aime le plus, celui qui se soucie et attend l’autre soir après soir. Il prenait son père en exemple : la séduction, les femmes mais pas l’amour.
L’amour rendait idiot, faible, misérable. L’amour entraînait le désamour ; personne n’apprécie les geignards, ceux qui sont en demande d’un regard, qui mendient une caresse, un compliment.
Il admirait beaucoup sa mère, en règle générale. Elle était intelligente, belle, spirituelle, efficace. Une épouse et une amie parfaite.
Mais lorsque son père était brusque, absent ou tout simplement indifférent, elle se transformait du tout au tout. Elle devenait ridicule et absurde, incohérente et irresponsable. Elle faisait des scènes ; elle se laissait aller aux larmes. Elle ne s’occupait plus de lui, son fils, que pour se plaindre. “Il est allé la retrouver, je le sais... Cette petite catin qui travaille au ministère ! Elle n’est même pas de sang-pure, comment ose-t-elle ?” ”Crois-tu que ton père a aimé le dîner ? J’ai demandé à Dobby de préparer du canard exprès pour lui, il adore ça...” ”Non, pas ce soir, Draco, je ne suis pas d’humeur à lire une histoire. Tu sais, ton père, il...”
Jamais il ne se laisserait aller ainsi ! Et c’est pourquoi il avait fait cette promesse : il ne tomberait pas amoureux.

Evidemment, il appréciait les filles. Les filles savent vous rassurer sur votre charme, s’occuper gentiment de vous quand vous avez passé une mauvaise journée, les filles sentent bon et sont douces. Vous pouvez vous montrer plus vulnérable avec elles, elles ne vous en trouveront que plus séduisant. Il adorait observer les filles : leurs longs cheveux, leurs petites dents découvertes en éclats de rire, leurs nuques fines et élégantes. Les yeux des filles que vous séduisez, les yeux des filles en colère. Leurs taches de rousseurs, parfois, leurs grains de beauté. Il aimait par-dessus tout leur diversité ; il leur trouvait à toutes du charme. Il appréciait les courbes des gourmandes, les angles des maigres. Les petites qui devaient se hausser sur la pointe des pieds pour vous embrasser le faisaient fondre, les trop grandes l’attendrissaient par leur maladresse. Même Pansy Parkinson, considérée par la plupart comme laide, il adorait ses poignets veinés bleutés. Il pouvait passer des heures à observer ces attaches si fines qu’il aurait les briser... Même Hermione Granger, qu’il haïssait, il ne détestait pas observer son petit nez qui se retroussait quand elle était en colère.
On ne pouvait pas vraiment dire qu’il avait beaucoup d’expérience. Quelques baisers volés au détour de couloirs, quelques mains tenues fébrilement sous un banc, quelques mots d’amour mal orthographiés par des demoiselles en émoi. Beaucoup de regards séducteurs et de vanteries, aussi.
Mais les filles l’aimaient bien. Du moins, celles de Serpentard et certaines de Pouffsouffles. Il pouvait se montrer charmant avec ceux qui le valaient bien; il était souvent drôle à sa manière pince-sans-rire. Surtout, il était beau, et, pour des donzelles de quatorze ans, cela compte.

Mais jamais, jamais il n’avait senti son cœur battre d’une drôle de façon, ses joues s’empourprer, jamais il n’avait pensé à une fille plus qu’aux autres ou en termes bien plus élogieux. Dieu merci, il était au-dessus de tout ça, grâce à sa mère.

C’est pour cela qu’il ne se méfia pas le jour où il entendit parler de Cho Chang. Pansy Parkinson et ses amies gloussaient dans leur salle commune. Il s’approcha nonchalement et s’assit à leurs côtés, en prenant bien soin que sa cuisse frôle celle de Sacha, une petite blonde de troisième. Il aimait bien le trouble qu’engendre, chez les filles, un contact physique même minime. Elles se raidissent imperceptiblement et leurs respirations s’accélèrent ; on les sent attentives, voire anxieuses.
Ces demoiselles se moquaient à gorge déployée de Cho Chang, la poursuiveuse de Serdaigle. Elle regorgeaient d’anecdotes qui prouvaient la prétendue stupidité de la Serdaigle : le jour où elle était tombée dans les escaliers devant tout le monde, le jour où elle avait posé une question ridicule en cours de métamorphose, le jour où elle avait confondu l’essence d’élébore et le sirop d’écailles de tortue en potion.
« -Un jour, riait Pansy, elle est venue en cours et... Et j’ai cru qu’elle avait un œil au beurre noir tellement elle avait mis de mascara ! Cette fille est une catastrophe à elle toute seule !
-Oui, et elle est si gentille, ajoutait Milicent Bulstrode, si naïve ! Vraiment, si je ne la savais pas si bête, je penserais qu’elle le fait exprès ! Un jour que je me moquais d’elle ouvertement, elle m’a souri et en a rajouté une couche en admettant que parfois, elle était un petit peu bécasse ! Je pense qu’elle croit que je l’aime bien ! »
Draco souriait. Il savait ce que cachaient ces moqueries, et c’est pourquoi il demanda :
« -Chang ? N’est-ce pas elle qui va au bal de Noël avec Diggory ?
-Oui, ce grand abruti ! La pauvre, elle n’a que des soupirants imbéciles ! Il paraît qu’Harry Potter aussi lui court après... Heureusement que moi je vais au bal avec un garçon qui en vaut la peine, n’est-ce pas Draco ? »
Celui-ci sourit à Pansy gentiment. Son manque de confiance en elle le touchait. Il savait que ce besoin constant de rabaisser les autres n’était que de la peur d’elle-même. Il savait également que n’importe quelle fille dans cette pièce se serait damnée pour ne serait-ce que frôler la main de Cédric Diggory. Il n’était pas jaloux ; il ne connaissait pas la jalousie, puisque pour lui toutes les filles se valaient. Aucune n’était assez précieuse pour qu’il la désire à lui tout seul.
Le soupir que poussa Sacha le conforta dans son opinion. Elles enviaient Cho Chang. Elles auraient voulu que le beau Diggory les invite ; elles auraient voulu que le célèbre Potter leur court après. Elles auraient voulu, enfin, être gentilles, aimables et belles. Draco se désespéra intérieurement : ne savaient-elles donc pas que toutes les filles, sans exception, pouvaient être gentille, aimable et belle ? Il suffisait d’y croire un minimum et l’on se transformait en princesse. Chang n’avait rien de plus, si ce n’est le sourire et l’optimisme.

Il ne connaissait la poursuiveuse que de très loin. Il la savait bonne au Quidditch et jolie. A part ça, ses goûts et ses humeurs lui avaient toujours été indifférents. Mais la conversation que Pansy et ses amies tenaient l’intrigua. Potter serait amoureux de Chang... Voilà qui pourrait être intéressant.

Il l’aborda le lendemain. Elle portait une pile imposante de livres et il l’aida à les transporter.
Cho s’avéra être bien plus que simplement jolie : de près, elle était époustouflante. Son profil tendu avait une grâce aristocratique que Draco avait rarement pu observer au sein de sa propre famille, pourtant de sang-pure. Son sourire le troublait profondément ; les fossettes semblaient appeler un baiser. Les dents droites et brillantes lui faisaient des clins d’œil, la courbe des sourcils l’aguichait. Des fines oreilles blanches dépassaient dessous le noir profond des cheveux et ce pâle jour en cette nuit lui donnait envie de danser...
Il était étonné de la sympathie avec laquelle Chang avait accueilli sa proposition de l’aider. Il fallait voir les choses en face : il était arrivé que Draco ne soit pas très aimable avec certains membres de Serdaigle. La position de son père au ministère le poussait souvent à se sentir intouchable et à profiter de cette position de force. Par conséquent, beaucoup de serdaigles l’évitaient, voire le traitaient avec mépris. Mais il semblait que la poursuiveuse soit imperméable aux préjugés.
Il n’eut pas de réel dialogue avec elle ; il lui servit plutôt un de ses monologues à la fois drôle, intelligent et perspicace. Elle se contentait d’acquiescer, riant de temps en temps et remettant une mèche rebelle derrière son oreille. Cho était le genre de fille qui se sentait toujours flattée d’attirer l’attention d’un garçon, quel qu’il soit.
Ils arrivèrent à la bibliothèque, lieu où Chang devait se rendre, bien plus vite que prévu, et Draco retourna à sa salle commune avec un drôle de sentiment. Il avait envie de revoir cette fille belle et attentive. Il ne lui avait parlé que quelques instants, mais il avait l’impression d’être plus attirant, plus intelligent grâce à elle, grâce à son écoute et à son rire.
Il comprenait un peu Potter, en un sens ; même si lui ne se laisserait jamais aller à de tels sentiments...

Il revit Cho quelques fois avant Noël, au dîner, à la bibliothèque et une fois dans le parc. Elle lui adressait toujours un petit signe de main amical, même si elle était souvent avec ses amies. Il se sentait alors précieux à ses yeux, unique. Il savait qu’elle devait faire pareil avec chacune de ses connaissances mais il ne pouvait s’empêcher de penser que, peut-être, avec lui c’était différent ; peut-être que ce signe de main était plus qu’un signe de main.
Le jour du bal, il trouva Pansy particulièrement laide. Sa robe rose ne lui allait pas du tout et elle avait raté son maquillage ; de plus elle avait eu le mauvais goût de mettre des gants, masquant ainsi son principal atout : ses poignets. Elle l’agaçait avec son bavardage incessant, ses gloussements stupides.
Il se sentait étrange, à vrai dire. Il était rare qu’une fille l’énerve. Il partait du principe que ces charmantes créatures étaient si différentes de lui qu’il fallait tout leur pardonner ; leur beauté, leur douceur rachetait tout. Mais ces derniers temps, il avait de plus en plus de mal à voir ces dernières, alors que l’hypocrisie et la stupidité lui sautaient aux yeux.
Pansy lui murmura à l’oreille une méchanceté quelconque à propos de la cavalière de Potter, Parvati Patil, tout en lui serrant possessivement la main. Il ricana poliment, mais le cœur n’y était pas : il n’était décidemment pas dans son assiette.
La vue d’un Weasley en guenilles le réconforta néanmoins durant quelques instants ; ce clown savant était du plus haut des comiques ! Le plus drôle était la tête catastrophée de celle qui avait l’infortune de l’accompagner, assurée d’avoir sa soirée ruinée par cet imbécile même pas beau.
Mais après cette charmante tranche de rigolade, Draco recommença à se morfondre. Pansy elle-même n’était plus fort en train après l’arrivée d’une Hermione Granger éblouissante, accompagnée par le célèbre Viktor Krum. Sa petite moue ne trompait pas : elle boudait. Draco ne comptait rien faire pour remédier à cet état et la soirée s’annonçait catastrophique.
Puis, il aperçut Cho.

Elle portait une robe bleue sombre, simple et classe, assortie à un ruban dans ses cheveux. Draco regrettait de n’être pas plus près d’elle ; de là où il était il apercevait à peine ses fossettes... Il lui fit un petit signe, mais elle ne lui répondit pas. Elle était visiblement trop absorbée par les paroles de Diggory pour le voir. Elle souriait de manière émerveillée, comme un petit enfant qui découvre ses cadeaux un matin de Noël. Draco ne put s’empêcher de remarquer leurs doigts étroitement enlacés et c’est là qu’une chose extraordinaire se produit : Draco se mit à haïr Diggory.
Il pensait haïr Potter mais il était loin du compte. Ce qu’il ressentait à cet instant pour le Pouffsouffle dépassait tout ce qu’il avait pu ressentir pour le Gryffondor.
Paradoxalement, Diggory lui semblait soudainement plus beau et plus charmant. Lui qui lui avait toujours paru être incroyablement ennuyeux et méprisable se transformait à ses yeux en prince charmant irrésistible. Il se mettait à la place de Cho et il comprenait : lui aussi aurait préféré être avec Diggory plutôt qu’avec... Lui-même. Il se sentait absolument stupide et laid, engoncé dans sa robe noire. Il était ridicule, tout simplement ridicule.
Et c’était bien pour ça qu’il le haïssait. Il lui aurait sans remords envoyé un avada kedavra, là, sur la piste de danse, s’il était sûr que personne ne le remarquerait. Et lui qui riait ! Lui qui dansait avec elle, qui la tenait par la taille, qui lui caressait les cheveux ! C’était écoeurant. C’était dégoutant. Et c’était terriblement injuste.
Draco se demandait pourquoi tout le monde ne s’arrêtait pas, figé, pour contempler le spectacle de ce couple dansant... Elle, fermant les yeux à demi, heureuse, abandonnée sur son épaules. Lui, fier, conquis et troublé. Ils étaient beaux.
Chaque fois qu’un autre couple lui dérobait Chang et Diggory du regard, il avait la curieuse impression qu’une main de fer se refermait sur son estomac. Pourtant, quand il les voyait, il se sentait encore plus malade. La main était partie, mais pour être remplacée par un sécateur qui détruisait absolument tout de ses entrailles.
Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, et pourquoi cette haine contre le médiocre Diggory.
Pansy non plus ne comprenait pas. Elle n’arrêtait pas de lui demander ce qui n’allait pas ; finalement, il prétexta un début de grippe pour justifier son apathie. Mais il ne se décida à aller se coucher seulement quand Cho et son cavalier eurent disparus dans le jardin – il préférait ignorer pour quoi faire.

La première chose qu’il fit en rentrant dans son dortoir fut d’agripper tous les badges disponibles “à bas Potter” pour les transformer en “vive Potter, à bas Diggory”. Ce qui lui donna la nausée.
Il balança alors tous les badges par terre, avant de les écraser à coup de talons rageurs. Il se sentit mieux.
Il resta longtemps dans son lit, les yeux ouverts, à ressasser la soirée. A repasser en boucle cette image : Cho qui sourit, sourit encore et encore et encore... A Diggory. Toujours à Diggory.
Il finit par s’endormir, terrassé par une foule de sentiments contradictoires et plutôt désagréables.

Le lendemain, à son réveil, il avait oublié d’appuyer sur stop et le film se déroulait toujours : Cho souriait. A Diggory.
Draco se retourna, la tête dans son oreiller dans le but de s’étouffer. Cela le fit seulement tousser désagréablement et se sentir plus misérable encore.
Une curieuse image lui vint alors en tête : sa mère, éplorée, malade au lit, incapable de se lever... C’était donc une malédiction ! Quelque chose qui se transmettait dans la famille des Black, peut-être comme une maladie génétique ? Certains sont atteints de diabète, de myopie ou de nanisme, lui avait hérité de l’amour. L’amour...

Le plus étrange de tout était que, dans son extrême détresse, Draco se sentait confortable. A sa place.
Sa mère ne lui avait jamais parlé de l’incroyable bonheur qu’était la douleur d’aimer.
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MessageSujet: Re: Que l'on est bête quand on est amoureux - Titef pour Litany   Que l'on est bête quand on est amoureux - Titef pour Litany EmptySam 10 Jan - 1:45

Titefraise, tu as fait une merveille avec ce texte. J'ai vraiment tiqué quand j'ai vu le pairing mais, franchement, moi qui n'aime pas Draco, je l'ai adoré. Et j'aime beaucoup la chute, le pauvre Draco qui vit l'amour comme une maladie... En tout cas, tu as écrit une vraie perle, avec ton style à toi. Tu as vraiment une vision tendre des personnages qui les rend attachants et intéressants.
Dommage que tu n'aies pas de temps pour écrire, tes fics me manquent.
Poutoux
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