Atelier 15 : Décembre 2008

Voilà. L'atelier est lancé avec plus d'une demi-heure de retard.
Il est 21h37, vous avez jusqu'à 22h07.
Encore toutes mes excuses.

Etant arrivé moi aussi en retard, de presque dix minutes, j'avais apparement jusqu'à 14... On respecte souvent ce genre d'horraire ici ? ^^
Néanmoins c'est trop tard, j'ai fini. J'espère que ça ne traumatisera personne, moi ça l'a fait ! Merci...

Pairing : Sparrow/Norrington (POTC)
Thème : Talon aiguille.

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...

Jack en avait jusque là, de tourner sur cette mer d'huile. Ca faisait près de deux mois qu'il ne s'était rien passé, l'équipage s'ennuyait à mourir, et il sentait venir la mutinerie. Malheureusement, cette fois-ci il était capitaine, et la mutinerie à venir ne s'annonçait guère aussi amusante que la précédente.
Ils s'approchaient cette fois de Port Royal, et rien de ce qu'ils avaient croisé valait la peine de s'arrêter, aucune fraîcheur et toujours les mêmes bateaux qui les évitaient. La dernière chance était de baisser le pavillon noir, de s'arrêter dans un port et de se laisser soûler jusqu'au matin par de grivoises demoiselles à moitié dévêtues. Jack se demandait très franchement ce qui était le plus important dans cette histoire, leur manque flagrant de soutien-gorge ou leurs hautes pintes de bière presque fraîche.
Il en était à sa cinquième pinte - de rhum, et commençait à sentir venir une certaine et délicate griserie qu'il voulut compléter par une balade dans cette ville ennemie. Le coin n'était pas dangereux pour un pirate, aucun sergent ne s'aventurant dans la zone à cette heure de la nuit... Hors Capitaine Jack était jeune et insolent, il marchait dans les rues d'un pas alerte et aléatoire, et il avait toujours eu beaucoup de chance : il eu bientôt le bon goût de tomber face à face avec un charmant jeune homme, galon de capitaine de la British Royal Navy accroché au sein de sa robe de soirée rouge. Les quatre hommes qui portaient le Capitaine sur leurs épaules n'étaient pas moins ivre...
-Pirate ! Hurla pourtant le plus gras des quatre compagnons, et James Norrington s'écroula dans la poussière tandis qu'ils fouillaient leurs manches et leurs ceintures pour se munir d'armes absentes.
Jack Sparrow était bien trop hilare pour fuir. Il tendit la main vers James, et au lieu de l'aider à se relever, lui ôta une de ses délicates chaussures noires à talon aiguille. Il se racla la gorge.
-Très bien. Que le plus vaillant à l'épée me combatte en duel, s'il ne craint pas pour sa vie et veut montrer à sa demoiselle qu'il est brave ? Il sourit en montrant toutes ses dents à l'assistance.
Qui, dépourvue d'armes, baissa les bras. On ne pouvait plus le prendre en traître, et un pirate qui ne fuyait pas devant la peur de la corde était beaucoup moins drôle.
Mais James était furieux. Il ôta son deuxième talon et se remit debout, pieds nus, sa longue robe traînant au sol et pourtant ne semblant pas s'en rendre compte. Brandissant sa chaussure il s'avança, terrible, piquant Jack à quelques centimètres de sa gorge. Celui-ci para du bout de l'escarpin, repoussant le bras tendu et touchant d'estoc le ventre de Norrington, ou presque, car celui-ci tourna sur lui-même, faisant preuve d'une agilité surprenant pour son état, et pliant les genoux, alla frapper du talon le tibia de Jack qui plia. Il tomba à genoux à terre, riant toujours, et s'aperçut que les amis du militaire avaient déserté la place.
-Capitaine, vous avez gagné mon respect, je vous rend donc votre bottine.
Norrington sembla seulement s'aperçevoir de ce qu'il tenait, s'assis sur le perron d'une maison, et prit sa tête dans ses mains. Il avait dessoulé d'un seul coup, et semblait se rendre compte du ridicule de la situation. Toujours serviable, Jack ajouta :
-Attention à ne pas tâcher ta jolie robe...
Et s'agenouillant devant l'autre, le pirate le chaussa délicatement.

(Il est 23h27, après avoir récupéré les chats de mon frère qui s'étaient enfuis, je m'y mets enfin...)

Pairing: Severus Snape/Albus Dumbledore (Harry Potter)
Thème : Porte qui grince.

Dans le silence de la nuit

Les couloirs du château étaient silencieux comme un tombeau. Plus silencieux en fait. Dans un tombeau, on pouvait généralement entendre des gouttes d'eau tomber sur le sol à un rythme régulier, ainsi que quelques petits animaux y ayant trouvé refuge. Severus le savait bien, il était déjà allé ramasser de très rares champignons dans la dernière demeure de sorciers aisés, et ce à de nombreuses reprises. Pas qu'il l'aurait dit à qui que ce soit, toutefois. Il tenait bien à garder le lieu d'origine de ses Ascomycota Verenitis secret aussi longtemps que possible.

Le silence qui régnait à Poudlard la nuit venue était un silence dans lequel on percevait l'amplitude du lieu, les hauts plafonds et les vastes arches, les longs corridors et les immenses halls. Le jeune professeur de Potions aimait à arpenter cet édifice magique (dans tous les sens du terme) une fois la nuit venue, une fois les élèves cantonnés dans leurs donjons et autres tours. Il pouvait alors pleinement apprécier le vieux château pour ce qu'il était vraiment.

Grâce à un habile sortilège, ses bottes ne faisaient aucun bruit sur le sol. Un autre charme supprimait pareillement le son qu'aurait pu faire sa cape en tournoyant derrière lui. Des sorts qu'il aurait aimé connaître lorsqu'il n'était encore qu'un étudiant, mais qui désormais lui laissaient un arrière-goût doux-amer dans la bouche. Il les avait appris quelques années auparavant, lors de son initiation en tant que Mangemort. Avec leur aide, Severus avait commis des crimes innommables. Leur souvenir seul le faisait encore frissonner d'effrois... et de honte.

Severus prit un tournant à droite et descendit lentement un large escalier, laissant l'atmosphère du bâtiment couler sur son corps, glisser entre ses doigts et la rambarde de pierre sur laquelle ils courraient, emplir ses oreilles de son silence assourdissant. Une fois arrivé en bas, il s'apprêtait à continuer tout droit lorsque un bruit sacrilège retentit un peu plus loin, à sa gauche. Il s'agissait du son caractéristique d'une porte qui grince. Ce qui était étrange, compte tenu du fait qu'aucune porte, strictement aucune, ne grince jamais à Poudlard.

Le jeune enseignant se dirigea donc dans la direction dont provenait l'étrange son. Les échos du grincement semblaient encore résonner dans ses oreilles, ayant déchiré le silence envoûtant du château. Persuadé qu'il allait surprendre un élève en flagrant délit de violation du couvre-feu, et priant intérieurement pour qu'il s'agisse d'un Griffondor, quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il aperçut le professeur Dumbledore, directeur du collège, l'homme à qui il devait sa place dans cet établissement. Albus, l'homme à qui il devait la vie.

C'était lui que Severus était allé trouver lorsqu'il avait appris que Voldemort avait l'intention de tuer l'enfant de Lily. Lily, sa douce fleur, son premier amour. Le jeune Snape était allé voir le seul homme en qui il n'ait jamais eu confiance, le seul homme autre que le Seigneur des Ténèbre qu'il ait jamais admiré, probablement le seul homme qu'il ait jamais aimé. L'adolescent qu'il avait été était en totale admiration pour son mentor, l'homme qui l'avait pris sous son aile malgré ses origines bâtardes. Et même s'il s'était éloigné de l'ancien enseignant de Métamorphose après avoir découvert que celui-ci abritait en toute insouciance un loup-garou dans un établissement rempli d'adolescents, il n'avait jamais réellement cessé de croire en lui.

Ce que Severus ressentait pour l'homme qu'il regardait à présent s'éloigner d'un pas insouciant n'était pas comparable à ses sentiments pour Lily. Non, c'était quelque chose de bien plus profond, de bien plus admiratif, quelque chose qu'il ne pourrait jamais se permettre d'exprimer. A la place, il se contenterait de servir ce grand homme aussi bien que possible, de ne jamais rien lui refuser, quitte à y laisser la vie. Avec un soupir imperceptible, l'ancien Mangemort détourna les yeux de la silhouette qui disparaissait au détour d'un couloir et les posa à l'endroit où aurait dû se trouver la porte grinçante. Sauf qu'il n'y avait aucune porte, juste un mur froid et silencieux. Pourtant, il pouvaient encore percevoir l'écho du grincement irritant qui l'avait agressé pendant sa balade nocturne. Finalement, l'homme haussa les épaules en soupirant avant de reprendre sa ronde. Après tout, si Poudlard voulait garder certains de ses secrets, qui était-il pour s'y opposer?

Pinec: Alors déjà, le thème, quoi, le thème! XD Ensuite, Norrington en robe c'est... étrangement intéressant, ce qui est légèrement perturbant. ^^ Bravo pour ce magnifique maniement délirant d'un accessoire fort seillant et ce joyeux moment de divertissement!

Alors, je n'ai absolument pas respecté ni le pairing, ni le thème. Honte à ma personne.

Thème : ton style, c’est ton cul !
Pairing : un original slash

Sacha était dégueulasse. Surtout au niveau du visage. Personne ne le regardait jamais. Le monde entier avait bien tenté, mais non. Impossible. Plus jamais, au grand jamais. Parce que regarder Sacha, c’était pire que tout. Pire que de regarder son propre enfant, mort et violé.

Au-dessus de son nez jamais propre, il y avait plus de morve que dans tout l’univers. Plus d’immondices que dans une décharge publique. Plus d’atrocités que dans un champ de bataille. Plus de folie que dans un cadavre déchiqueté.

Au-dessus de son nez, dégoulinant, il y avait deux yeux sales. Dégoutants. Comme un grand trou noir, un gamin à deux têtes. Des yeux fous. Suintant de pus. Un trou sans fond. Plein des pires souvenirs. Un visage écrasé. Des choses abominables, que Sacha tairait à jamais. Des choses nauséabondes qui tentaient vainement de s’enfuir par son nez, mais Sacha les rattrapait toujours. Implacable. Sans pitié.

Ces choses là finissaient par s’entasser, partout, comme du vomi dans l’estomac, de la bile dans les intestins. De la morve, des larmes qui ne peuvent plus couler. Plus jamais.

Sacha serrait les fesses. Plus fort. Que rien ne sorte. S’il avait pu, il aurait fermé les yeux, bouché son nez. Il se serait enterré dans du ciment. Tout colmater. Tout.

Et ça réussissait plutôt bien. A part les yeux. Impossible de colmater les yeux d’un détraqué. Parfois, un filet de bave coulait le long de son menton, mais il l’essuyait, fou de colère. Fou de rage. Fou, tout court.

Jusqu’au jour où il avait cru que son cul le trahissait. Il n’avait pas serré assez fort, s’était-il dit. Et voilà, tout allait sortir. Il allait déverser sa merde puante sur le monde. Et le monde allait verser quelques larmes à sa place.

Mais non, rien ne sortait de ses fesses. Rien ne sortait de nulle part. Juste un regard. Pas le sien. Un regard posé sur son corps. Sur son putain de cul qui tentait de lui échapper.

Il ne voulait pas de ce regard, il ne voulait pas de la merde des autres. Pas de leurs larmes, pas de leur bave, de leur bile, leurs crachats, leur vomi. Leur pisse. Rien de tout ça.

Il se retourna, lentement.

Pire qu’un gamin, la commissure des lèvres déchirée.

Sacha ferma les yeux.

Il serra les fesses. Ses lèvres, bloqua ses intestins, sa bile. Tout. Parce que, sa pisse, on la garde pour soi.

Pinec, ton texte est vraiment dans le ton de la série, c'est le capitaine Jack en personne. J'adore la dernière image quand il rechausse Norrington tel un prince dans un conte de fées. Bien contente que mon pairing t'aie bien inspiré. ^^

Miya, j'adore ton Severus et son admiration pour Dumbledore. Ton texte a vraiment bcp de charme. C'est bien dommage qu'il ne soit pas plus long. ^^

Mailine, alors je t'admire d'avoir réussi à écrire quelque chose sur ce thème. ^^' Je n'aurais jamais pu écrire quelque chose. Et ton texte est... complètement étrange. Bravo parce qu'il est vraiment réussi.

Félicitations les filles !

Merci Gred chérie! ^^ Quant à la longueur, on fait ce qu'on peut en une heure, mais peut-être le retravaillerai-je, quand j'aurai le temps. Je n'aurais jamais pensé écrire sur ce pairing, mais finalement pourquoi pas.

Ne t'inquiète pas pour la longueur, c'est moi qui suis une morte de faim ! ^^ Ton texte est très bien comme ça !

Je soutiens Gred mais je te comprends, c'est sûr qu'il s'arrête juste quand... il pourrait commencer ... La frustration du slasheur qui veut des bisous de PDs ^^. Sinon c'est bien, ça fait plaisir que tu ai essayé ce pairing sans y accrocher à l'origine ! ^____^

Merci pour ta review, j'avoue que je me suis fortement amusé, malgré le côté anachronique de la chose, à le coller en robe... xD Ravi que ça t'ai plu !

Et Gred, je suis très content d'être qualifié d'In Character, vu que c'est ton pairing... J'avoue que par contre ce couple m'était parfaitement inconnu et que donc je me suis un peu embrouillé dans le personnage de Norrington que j'avais quelque peu évincé de mes souvenirs (Wiki is my friend)... ^_______^ (En plus du coup je suis allé encore plus loin dans ma tête en admettant que Norrington était donc très doué à l'épée et que si dans le combat à trois avec Will et Jack il repousse Will (qui est pourtant extrêment doué) mais pas Jack, c'est à cause de cette fameuse aventure alcoolisée entre eux, et de ses suites... )... Voilà, je me suis bien amusé, merci pour le pairing !

Ah bah écoute, sur lj, je vois plus de Sparrow/Norrigton que de JackWill, alors j'ai cru que tu connaissais ^^' Cela m'est déjà aussi arrivé de devoir retrouver le perso d'une série grâce à Wiki parce que je ne m'en rappelais pas. Je suis bien contente que ton texte ait bien fonctionné tout de même.

Pinec a écrit:

Je soutiens Gred mais je te comprends, c'est sûr qu'il s'arrête juste quand... il pourrait commencer ... La frustration du slasheur qui veut des bisous de PDs ^^. Sinon c'est bien, ça fait plaisir que tu ai essayé ce pairing sans y accrocher à l'origine ! ^____^

Alors ça non! ^^ Désolée, mais Dumby, même dix ans avant le début des livres, il avait quand même déjà passé cent ans, je ne peux physiquement pas les faire s'embrasser, brrrrrr...

Pinec a écrit:

Merci pour ta review, j'avoue que je me suis fortement amusé, malgré le côté anachronique de la chose, à le coller en robe... xD Ravi que ça t'ai plu !

Mais de rien! ^^

Citation :

Alors ça non! ^^ Désolée, mais Dumby, même dix ans avant le début des livres, il avait quand même déjà passé cent ans, je ne peux physiquement pas les faire s'embrasser, brrrrrr...

Hum.
Un problème ave Dumby et son sex-appeal ?




Mouahahahaha !

Et pour Snape n'aurait pas le droit au bisou de Dumby ? *choquée*

Vous voulez me traumatiser encore plus que je ne le suis déjà, hein, c'est ça? T_T

Toi, tu n'as pas encore compris ce qu'il y avait de magnifique dans ce couple !

Ce qu'il y avait de magnifique dans Dumby, tout court !

Non, et je ne suis pas sûre de vouloir comprendre...

*outrée*

Que veux-tu que je te dise, on a tous nos limites...

*petite tête dépitée*

*va pleurer contre l'épaule de Mailine*

Tu as déjà lu du Severus/Dumbledore toi ??

Oui. J'ai déjà lu ça !

Mais je t'avoue que je suis plus pour le Dumbledore solitaire... Mais, ne t'inquiète pas, tu peux pleurer sur mon épaule, le Severus/Dumbledore sera toujours là pour toi !

Voici ma contribution.
Euh... Titefraise... ne t'ai-je jamais dit à quel point je détestais Cho et Marietta >_<
J'ai eu du mal, on le voit d'ailleurs. ^^'
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Cho Chang/Marietta Edgecombe
Papier déchiré (le thème était page déchirée, je l'ai légèrement modifié ^^')

Chantonnant gaiement, Cho se coiffait tout en se regardant dans le miroir. Elle s’arrêta, tenant sa brosse à deux mains, ses yeux perdus dans le vague. Dans sa tête, elle se repassait les mots écrits par Harry. Elle n’aurait jamais imaginé que le Gryffondor soit assez romantique pour l’inviter à passer la journée de la Saint-Valentin avec lui. Elle sourit béatement puis soupira. Il était vraiment chou !
Dans le miroir, elle vit la porte s’ouvrir et sa meilleure amie entrer dans leur chambre. Elles se sourirent. Cho bondit sur ses pieds et se précipita vers Marietta, qu’elle prit dans ses bras.
« Mari, si tu savais ! »
La brune sautillait sur place. Marietta la fixa, visiblement amusée.
« - Je ne sais pas mais je vais apparemment ne pas tarder à être mise dans la confidence.
- C’est Harry. Il m’a invitée à Pré-au-Lard pour la Saint-Valentin ! Tiens… »
Elle revint vers sa coiffeuse puis se retourna vers son amie, une lettre dans les mains.
« Lis ce qu’il m’a écrit. C’est si romantique… »
Trop prise par son excitation, l’Attrapeuse ne remarqua pas que Marietta s’était crispée. Machinalement, la jeune fille accepta le papier et commença à prendre connaissance de son contenu. Plus elle lisait et plus son humeur s’assombrissait. Elle avait pourtant espéré que le jeune homme soit aussi stupide qu’elle se l’imaginait. Elle tiqua en notant certaines tournures de phrase. Elle sut très vite qui avait réellement écrit cette missive pour sa meilleure amie. Hermione Granger était vraiment folle de ce Potter ! Elle fut tentée de partager cette découverte avec son amie mais elle savait déjà que cela ne servirait à rien. Cho n’écouterait jamais.
Elle l’écouta babiller sur le rendez-vous jusqu’au moment du départ pour la réunion de l’A.D., réunion que Cho attendait aussi avec impatience. Prétextant ne pas avoir terminé son devoir de Potions, Marietta resta dans leur dortoir.
Elle attendit une vingtaine de minutes avant de se lever et de se diriger vers le lit de la brune et de prendre, de sous l’oreiller, la lettre que Cho admirait tant. Alors, prise d’une rage folle, Marietta déchira le papier en morceaux.
Elle détestait Harry Potter. Elle le haïssait tellement qu’elle aurait aimé l’avoir sous ses doigts pour lui faire subir le même sort. Elle s’était imaginée pouvoir inviter Cho et lui avouer, enfin, ses réels sentiments mais maintenant…
Sa colère ne diminua pas quand le papier fut réduit à des confettis. Tout son corps criait à la vengeance, une vengeance lente et douloureuse, quelque chose qui fasse aussi mal à Potter. Oh oui, elle se vengerait, quelque soit le prix à payer !

Eh bien pour quelque chose que tu n'avais pas envie d'écrire, c'est très réussi! Et ça explique bien des choses, en plus! ^^ Bravo!

Oh merci ! ^^' C'est pourtant vrai que j'ai eu du mal à l'écrire. Enfin, je suis quand même satisfaite de l'avoir écrit.